David oeuvre au sein du Ministère pour le droit à l'information environnementale pour le grand public.

La campagne présidentielle a mis en avant un thème phare, la démocratie participative, qui pourtant se développe déjà depuis plusieurs années, concrètement, et pour des sujets aussi important que l'environnement (l'écologie des années 1970-80, les scandales de l'amiante, de Tchernobyl ou encore des pesticides). Au sein du Ministère de l'écologie et du développement durable, la démocratie participative est notamment mise en ouvre par David Catot ...
Découvrez son portrait.

Conscients que les enfants sont les acteurs écologiques de demain et convaincus que c'est dès le plus jeune âge que l'on développe un esprit citoyen responsable, nous voulons les sensibiliser à l'écologie et partager avec eux notre voyage.

Nous pensons qu'à travers le voyage et la découverte, il est plus facile de faire prendre conscience aux enfants des enjeux de l'écologie. Voyage et environnement peuvent être aussi intégrés à l'ensemble du programme pédagogique de la classe (initiation à l'anglais ou à l'informatique, calculs des kilomètres parcourus, rédaction d'un cahier de bord, phénomène des saisons, des cycles de vie, des 5 éléments..).

Ce partenariat recevant un franc succès auprès des professeurs, nous réfléchissons actuellement à un moyen de toucher un plus grand nombre de classes, notamment en réalisant, pendant et après notre tour du monde, du matériel pédagogique pour le CLEMI, qui est l'institut qui fournit du matériel pédagogique aux écoles de France.

Dans la prochaine newsletter, nous vous expliquerons comment et par quelles actions concrètes ce partenariat avec les écoles va se concrétiser.

Mika

Chacun de nos achats est un engagement citoyen envers la planète. En ces périodes d'élections où nous votons pour un mode de vie, faisons de même au quotidien, et votons pour un mode de production et de distribution respectueux de l'environnement. Sachant qu'un achat peut avoir des conséquences sur plusieurs années (le C02 reste plus de 100 ans dans l'air), nous sommes responsables des impacts environnementaux et sociaux de nos achats (exemple :utiliser de nombreuses années un appareil peu économique en électricité).
Chaque petit geste compte et a un impact important, et de nombreux leviers simples d'action existent, par exemple :

• Favorisons les produits locaux et de saison. Les consommer c'est réduire la pollution de notre consommation : une orange de Floride engendre 1500g de CO2, soit 1000 fois qu'une locale. C'est aussi économiser en stockage, congélation, et suremballage.
• Attention à ne pas non plus tomber dans l'excès, la banane, le café ou l'ananas, par exemple, permettent à de nombreuses familles de vivre en Afrique, Asie ou Amérique Latine. Achetons alors équitable ! La protection de la planète passe aussi par la protection de ses habitants.
• Favorisons, autant que possible, le "bio" et les produits du commerce équitable. Un cadeau bio ou équitable, c'est un cadeau "utile", bien meilleur pour la santé (légumes et fruits) et l'environnement (pas de pesticides, respect de la biodiversité). Si ces produits sont encore peu diversifiés, plus nous en acheterons, plus les producteurs se tournerons vers le bio, plus les choix seront variés et les prix bas.
• Favorisons la réutilisation : augmenter la durée de vie d'un produit c'est diminuer le volume des déchetteries et les pollutions qui en découlent, c'est diminuer la demande en matières premières et contribuer à utiliser durablement les ressources. Choisissons des produits recyclés (stylos, papiers, etc.), évitons l'achat à usage unique (vous savez, la grande mode du "jetable" ...
• Le droit à l'information est un aspect important du développement durable (cf. David). Choisissons les distributeurs qui informent le consommateur (étiquettes énergétiques, etc.) et évitons ceux qui mettent un prix élevé pour les réparations pour inciter à l'achat. C'est écologiquement intolérable !

Eric

Découvrez d'autres gestes

Si l'Equateur évoque LA ligne imaginaire autour de la planète séparant les hémisphères Nord et Sud (ligne equinoxiale), il est aussi l'un des pays les plus pittoresque et les plus beau d'Amérique du Sud. Plus petit pays des Andes, très catholique, l'Equateur possède encore des cultures indiennes fortes (le quechua y est très répandu) et parfois prospères, ainsi qu'une architecture coloniale renomée. La situation économique est difficile, mais l'exportation est vive. Guayaquil, plus grande ville du pays, est un des principaux port d'Amérique Latine, d'où partent banane, pétrole, café et crevettes.

La nature est très riche et diversifiée, de vertigineux volcans enneigés et la jungle amazonienne se côtoyant sur une surface égale à la moitié de la France. Quito, la capitale, est à mi-distance du Pacifique et de l'humidité tropicale amazonienne.
Mélant ainsi fôrets, désert, montagnes et côtes maritimes le pays est un havre écologique riche mais fragile. Le meilleur exemple concerne le "bijou" écologique,connu de nous tous : les îles Galápagos.

Situées à 1000km de la côte, ce sont 50 000 km² d'un fabuleux trésor naturel, bonheur des scientifiques et amoureux de la nature. Les Galápagos sont une réserve naturelle (créé en 1959), la flore et la faune y sont uniques : tortues géantes, fous à pattes bleues, iguanes marins, baleines à bosses, reptiles.... C'est dans cet "Eden" oublié par le temps que Darwin y a effectué des expérimentations qui marqueront la théorie de l'évolution. Depuis, les îles sont un laboratoire naturel, hélas très menacé par les activités humaines. Les Galapagos sont une mine d'or touristique pour l'économie équatorienne, des milliers de touristes les visitent maus sont heureusement très protégées. Une cinquantaine de sites, seulement, sont accessibles aux touristes.

Eric

Mois conseillés : toute l'année en raison de son positionnement et de la diversité des climats.

"We feed the world" (traduit en français "Le marché de la faim")

La mondialisation, et plus précisément celle de l’industrie alimentaire, est décriptée dans ce captivant documentaire autrichien. Erwin Wagenhoffer a sillonné la planète pour y filmer le désarroi, l'impuissance et la colère parfois de producteurs locaux dont l’activité se voit menacée par un système non adapté aux contraintes écologiques. Les dangers pesant sur les écosystèmes et les réserves de ressources naturelles, mais aussi la diminution de la qualité de nos aliments suite à l'abandon d'un certain savoir-faire sont soulignés par un film qui se veut descriptif plus que polémique.

La pêche en France, le soja et la déforestation au Brésil, l'élevage des poulets en Autriche, l'introduction d'OGM en Roumanie, les tomates en Espagne et en Afrique, etc... Tous ces exemples, éclairés autant par des locaux que par des experts de l'ONU nous montrent l'inadéquation d'un mode de production qui conduit à générer de la pauvreté et des désastres écologiques.

On ne finit ni effrayé ni tétanisé, juste abasourdis par un système dans lequel notre rôle de consommateur et de citoyen doit nous amener à réfléchir sur notre mode de consommation.

Saisissant !

Eric

Merci à tous pour votre soutien et à très bientôt... Eric, Claire et Mika !

http://www.coeur-vert.com